Selon l'avocate de la mère de l'enfant, SandrineCaron,il a tenté à deux reprises d'enlever son fils, pendant quinze jours en 2010 et pendant deux mois et demi en 2011, avant d'être à chaque fois retrouvé par les forces de l'ordre. Il se serait aussi montré menaçant à l'égard de la mère etviolent contre son ancien beau-père.Ala suite de ces soustractions, il a été condamné à un an de prison dont quatre mois fermes,et"la cour d'appel de Rennes a suspendu le droit d'accueil du père", selon l'avocate. SandrineCaronprécise que, "jusqu’aux menaces d’enlèvementqu'il a formulées, la mère s’est toujours attachée à ce que le droit d’accueil élargi de SergeCharnaysoit scrupuleusement respecté". Pour sa part, l'homme"ne regrette absolument pas" la soustraction de 2011 : "car sinon,je n'aurais pas vu mon fils", se justifie-t-ilSes liens avec les associationsA sa descente de la grue, Serge Charnay a confirmé sa participation à la manifestation pour les droits des pères prévue mercredi à Nantes, dont il dit être l'organisateur. Il est ainsi lié à l'association SVP Papa, qui assure la communication de l'événementet qui lui a apporté son soutien avant de se désolidariser de son action samedi. L'association, créée en 2011, compte une quarantaine d'adhérents.
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Autre association à accorder "toute sa sympathie"àSerge Charnay et à être reçue par les ministres Christiane Taubira et Dominique Bertinotti, SOS Papa revendique 16000adhérents après vingt-trois ans d'existence. Dans Le Monde,lecinéaste Patric Jean lie ce type d'actions au mouvement "masculiniste" ou "anti-féministe", qui propose le "rétablissement de valeurs patriarcales sans compromis". Sans se revendiquer de ce mouvement, Serge Charnay a affirmé lundi que"les femmes qui nous gouvernent se foutent toujours de la gueule des papas".Ses revendications"A l'origine de tout ça, il y a une décision absolument abominable de lamagistrate, qui a fait voler en éclats ma famille, qui a détruit mon gamin et qui a détruit mavie, a affirmé Serge Charnay, samedi, au micro deFranceInfo.Je veux que cette décision soit remise en cause."Pourtant, lors de son action, ila repoussé le réexamen en urgence de son dossier. Plusieurs propositions concrètes ont été faites à SergeCharnay, comme celle de revoir son fils et de lui proposer un logement alorsqu’ilvit dans un camping.
louis vuitton pas cher Sans succès, selon Europe 1."Serge Charnay est seul responsable de la dégradation de ses droits parentaux et son prétendu combat ne doit pas être confondu avec celui de nombreux pères injustement éloignés de leurs enfants", a déclaré l'avocateSandrine Caron. Selon elle, "la question de ses droits sur son fils dépend de la seule compétence du juge aux affaires familiales qu’il refuse de rencontrer". Pères et garde partagéeSeine-Saint-Denis. Deux ouvriers du BTP visés et blessés par balles Trois ouvriers ont été visés par des tirs, alors qu'ils travaillaient sur un chantier dans la cité des Poètes à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). Deux sont blessés, mais leur pronostic vital n'est pas engagé. Des tirs à balles réelles ont retentidans une cité de Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), lundi 18février.
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Ils ont visétrois ouvriers à l'œuvre sur un chantier de rénovation urbaine. Deux d'entre eux ont été blessés mais leurs jours ne sont pas en danger, a indiqué la préfecture. On ne connaît pas le type de leurs blessures."Les premiers éléments de l'enquête laissent penser que des ouvriers qui travaillaient sur un chantier de rénovation urbaine ont été pris pour cible dans un bâtiment modulaire de type Algeco", expliquela préfecture. Elle ajoute que"quatre coups de feu ont été tirés apparemment", dans la cité des Poètes,par"a priori un seul auteur, qui a pris la fuite".Récemment, "les patrouilles ont été renforcées" dans la cité "à la suite de plusieurs affaires de stupéfiants", a souligné la préfecture. Le préfet, Christian Lambert,et le directeur territorial de la Sécurité publique, Serge Castello, se sont rendus sur place.